La carte cosmique de Betty Hill: la nouvelle ère spatiale, dévoilement, les synchronies en Ufologie, par Lallá Barretto.

*Image:Amas d'étoiles Westerlund, capturé par le télescope Hubble.

Nous entrons maintenant dans une nouvelle ère de l’exploration spatiale, où la place que l’homme occupe dans le cosmos commence à être redéfinie, un fait qui a une incidence directe sur nos considérations et considérations sur l’objet OVNI. Notre avancée technologique actuelle a déjà considérablement modifié les paradigmes ambigus qui, jusqu’à l’année dernière, guidaient les connaissances sur le phénomène:

Il est désormais prouvé physique, contrairement à un dogme qui a duré des décennies, qu’il serait de l’ordre des formations mentales. En avril 2019, exactement un an plus tard, en avril 2021, la marine américaine et le Pentagone ont reconnu que les images radar sont réelles et représentent des objets volants dont nous ignorons objectivement l’origine et les objectifs: nous ne savons pas ce qu’ils sont, d’où ils viennent, ou ce qu’ils veulent.

Aujourd’hui, avec notre précaire technologie, nous disposons de quatre moteurs de différents pays explorant la planète Mars: USA, Inde, Emirats Arabes Unis et Chine, une combinaison sans précédent d’efforts des agences spatiales sur notre planète.

Cinq autres missions terrestres sont déjà au-delà du système solaire, dans l’espace interstellaire, renversant définitivement l’impossibilité présumée d’être visité par les voyageurs de l’espace.

*Graphique. NASA/ Johns Hopkins APL/Southwest Research Institute.*

Notre propre technologie a déjà mis à la disposition de chaque individu sur Terre des moyens techniques d’enregistrement du phénomène, qui peuvent être partagés, diffusés sur toute la planète et soumis à tous types d’analyses pour déterminer son authenticité. Aujourd’hui, nous avons une intimité avec l’univers, sans précédent dans l’aventure humaine: nous pouvons nous promener à travers des galaxies lointaines ou des planètes voisines, comme si nous y étions, à travers le matériel libéré par les agences spatiales et à travers la diffusion des plus grandes entités scientifiques du monde. . Les instances scientifiques, alliées traditionnelles de la dissimulation, commencent à changer de stratégie, car elles enregistrent elles-mêmes le phénomène dans tout le système solaire, au point de ne plus pouvoir le dissimuler par les moyens classiques de discréditer les faits et les témoins. Et les témoins sont de plus en plus nombreux venant de ces mêmes instances, qui ont décidé d’ouvrir le jeu, face aux énormes conséquences que la prise de conscience de la présence extraterrestre dans notre monde apporterait à la civilisation humaine.

L’origine de la profusion d’objets et d’êtres qui visitent la planète Terre, puisqu’il y a des humains à témoigner, reste une énigme. D’où viennent-ils? Ils sont observés plus souvent entrant dans notre ciel, comme venant de l’espace extra-atmosphérique, et les tentatives de surprendre une logique de son mouvement en accord avec les points cardinaux, ils s’avèrent inopérants pour clarifier d’où ils viennent. Le comportement intelligent de ces objets a conduit l’humanité, tout au long de son histoire, à élaborer l’hypothèse extraterrestre, en les interprétant comme des manifestations de civilisations dont l’origine se situe en dehors de la Terre.

Un comportement intelligent montre clairement que si nous ne savons toujours pas d’où ils viennent, c’est aussi parce que les extraterrestres eux-mêmes omettent clairement ou donnent la moitié des réponses sur leur origine lorsqu’ils sont interrogés par les personnes contactées. Très peu sont revenus de leurs expériences avec des indications sur l’emplacement des mondes d’origine de leurs ravisseurs, ou qui ont été invités à visiter. Même lorsque cette question est posée, la réponse est toujours imprécise, pour ne pas dire évasive.

Betty Hill et le chat cosmique avec le leader: la carte.

L’une des conversations les plus intéressantes sur l’origine extraterrestre s’est produite précisément dans le premier cas d’enlèvement documenté majeur, celui de Betty et Barney Hill, aux États-Unis, dans la nuit du 19 au 20 septembre 1961. Toujours à l’intérieur du navire, Betty a demandé à l’être. , qui s’est identifié comme le «leader», d’où ils venaient et comment ils sont arrivés ici. L’extraterrestre lui présenta une carte et lui retourna sa question, lui demandant de montrer d’où elle venait elle-même. Comme il ne savait pas comment répondre, l’extraterrestre prit la carte, disant, avec un soupçon de dédain, que son ignorance empêchait de plus amples éclaircissements sur son origine cosmique.

Betty Hill a reproduit la carte sous hypnose en 1968. Son dessin se compose de deux grands cercles et de treize petits points, reliés par des lignes épaisses, légères et pointillées.

Betty Hill, dessin sous hypnose, 1968. Koch et Kyborg.

Marjorie Fish, 1978: la première interprétation.

L’astronome amateur Marjorie Fish a été interrogée par la carte et a pensé qu’elle devrait représenter une configuration cosmique réelle, car le chef a demandé à Betty de montrer d’où elle venait. Fish a commencé patiemment et résolument à rechercher un modèle correspondant à la carte et, en supposant que l’un des points indiquait le Soleil, les autres devraient également être des étoiles, en supposant qu’il s’agissait d’une carte d’étoiles. Après d’innombrables tentatives pour trouver le modèle, dans un rayon de 50 années-lumière autour du Soleil, la mise à jour du catalogue Gliese en 1972 a révélé un groupe d’étoiles correspondant à la configuration conçue. Fish a terminé le travail en 1974, concluant que la carte de Betty Hill représente le système binaire Zeta Reticuli 1 et 2, Alpha Mensae, 82 Eridani, Gliese 59, Gliese 67, Gliese 86, Gliese 86.1, Gliese 95, Kappa Fornacis, 54 Piscium, 107 Piscium, Tau Ceti, Tau 1 Eridani et le Soleil.

Les travaux de Marjorie Fish ont été accueillis avec intérêt et enthousiasme par la communauté scientifique liée à l’ufologie. Aurions-nous la bonne adresse cosmique pour une civilisation extraterrestre pour la première fois? Plus encore, le système Zeta Reticuli avait déjà été défini auparavant comme l’origine des extraterrestres qui avaient eu un accident à Roswell, en 1947. La carte apportait également une vision dynamique de nos visiteurs. Comme l’explique le chef, les lignes lourdes correspondent à des «routes commerciales», les lignes légères aux «endroits où elles voyagent occasionnellement», et les lignes brisées sont des «expéditions», différentes formes de contact avec treize étoiles, dont supposément le Soleil .

*l’interprétation de Marjorie Fish de la carte de Betty Hill; Système binaire Zeta Reticuli.*

L’interprétation de Fish a suscité des débats intéressants, promus par le magazine Astronomy en 1974, qui ont contribué à l’avancement de la compréhension scientifique des objets OVNI, par la participation de nul autre que Carl Seagan, Allan Hyneck et Terence Dickinson, entre autres. Tout au long de l’année, un débat scientifique animé a été engagé, et même si Marjorie Fish s’est trompée à l’adresse qu’elle nous a fournie, son travail a contribué à faire progresser la compréhension de nombreuses questions abordées sur la carte de Betty Hill.

Zeta Reticuli, malgré les critiques, est restée pendant des décennies enchanter l’imagination de générations d’aficionados d’Ufologie. Imaginez les extraterrestres suite à la polémique! D’éminents astronomes dans leurs critiques ont continué à chercher parmi les étoiles. Pourquoi n’était-ce pas encore le moment scientifique de cette découverte? Pourquoi cette découverte aurait-elle besoin que d’autres événements soient synchronisés pour que des connaissances extraordinaires soient révélées? Quels sont les synchronismes qui nous permettent d’avoir une vision complètement différente de la carte de Betty Hill aujourd’hui, et quel est l’intérêt de cette évolution pour nos connaissances actuelles sur les ovnis?

Koch et Kyborg, 1993: un revirement dans l’interprétation de la carte.

Mais, comme la science ne cadre pas bien avec l’enchantement, la critique a fait son chemin et une nouvelle interprétation de la carte a été proposée par les experts en agroglyphes, Joachim Koch et Hans-Juergen Kyborg, en 1993. Il n’est jamais trop de négliger l’élégance et l’éthique de la recherche avec laquelle ils sont entrés dans le débat, soulignant «que notre objectif n’est pas de minimiser le travail acharné de Mme Marjorie Fish. Avec ses efforts admirables, elle a conduit notre vision vers notre quartier cosmique, et sans cela, beaucoup d’entre nous ne sauraient même pas que son système stellaire préféré, Zeta Reticuli, existe. Elle a toujours pensé que la “carte” était une carte des étoiles, tout comme Betty l’a fait. “

On s’attendait à ce que Betty Hill et Marjorie Fish aient une configuration stellaire située dans notre quartier cosmique. Betty précise que pour elle l’univers est fait d’étoiles, car elle se réfère aux images qu’elle a vues comme étant tout ce qu’elle sait sur le sujet: «Et je lui ai parlé de voir, je pense l’avoir rencontré une fois, Harlow Shapley; il a aussi écrit un livre. Et j’avais vu des photographies qu’il avait prises de millions et de millions d’étoiles dans l’univers. Mais c’est tout ce que je savais. Koch et Kyborg ont fait valoir que, dans le contexte de l’enlèvement de Betty Hill, si le chef voulait tester sa connaissance de l’univers avant d’informer son adresse cosmique, il serait plus rationnel pour lui de proposer quelque chose que Betty pourrait reconnaître. ses connaissances rudimentaires sur le sujet, et non un système stellaire situé à 42 années-lumière et où le Soleil serait représenté par un point, entre des points aléatoires. Ils ont également observé que les deux grands cercles au premier plan sont marqués par des lignes courbes dans le dessin. Ils en ont déduit qu’ils pouvaient indiquer des lignes équatoriales, des orbites, des structures en forme d’anneau, comme dans Saturne et Jupiter. Les deux cercles au premier plan représenteraient-ils Saturne et Jupiter? De plus, ils ont découvert l’absence fondamentale d’un point dans la reproduction de la carte analysée par Marjorie Fish dans son article pour MUFON, présent cependant dans le dessin de Betty Hill.

Prenant en compte le point de vue de Betty regardant la carte, ils soupçonnaient qu’elle pourrait plus probablement représenter quelque chose que même Betty pourrait reconnaître. Ils se sont précipités vers l’ordinateur: «Après quelques entrées dans le programme, le ciel que Betty et Barney Hill ont vu dans la nuit du 19 au 20 septembre 1961 s’est éclairé sur le moniteur devant nous. Nous avons ajusté la direction sud et découvert les planètes Jupiter et Saturne très proches l’une de l’autre. (…) Sur le moniteur, notre Terre était au-dessus du centre et légèrement décalée vers la droite. À sa gauche, Mercure et Vénus avaient leurs positions réelles, et en dessous du centre, Mars était assis à leur place. Avec le curseur, nous dessinons des lignes de connexion de Saturne à Jupiter, de là à la Terre, Mercure, Vénus et Mars. Avec un léger gémissement d’étonnement, nous nous penchâmes en arrière. Sous nos yeux, il a dansé, quelque peu tordu, mais déjà avec une ressemblance indéniable avec la plupart des motifs observés sur la «carte des étoiles» de Betty Hill. Et juste à la place du petit cercle que nous avons vu sur la carte de Betty et qui manquait au dessin de Mme Fish, le Soleil était localisé. Ils ont cherché un programme informatique où ils pourraient manipuler la position des planètes, mais Mercure n’était pas dans la position correspondant au dessin de Betty la nuit exacte de l’enlèvement, du 19 au 20 septembre 1961.

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Il était alors clair qu’ils devaient chercher une autre date, mais cela avait un rapport immédiat avec l’heure de l’enlèvement. Ils ont rapporté qu’au cours du mois suivant l’enlèvement, Betty a eu cinq nuits consécutives de cauchemars au cours desquels elle a revécu toute l’expérience. Également pendant cette période, en voyageant avec Barney sur une route près de Portsmouth, le couple a eu une réaction de panique, qu’ils ont trouvée inexplicable, quand ils ont vu la route partiellement bloquée par une voiture cassée, avec un petit groupe de personnes vêtues de noir en retour . Le 21 octobre, un mois après l’enlèvement, Walter Webb du Hayden Planetarium de Boston entame une sérieuse enquête sur l’affaire.

Ces événements consécutifs à l’enlèvement suggèrent aux auteurs que le contact s’est poursuivi à un niveau paranormal au cours du mois suivant: «Après cela, rien de tel que des cauchemars ou des rencontres étranges ne s’est reproduit. Il nous a semblé qu’il y avait eu une intersection significative au cours de l’histoire, comme si les “Autres” exerçaient un certain contrôle sur les choses pendant un court laps de temps après l’enlèvement et y mettaient finalement fin. “

Ils ont choisi de rechercher le motif de la carte le 20 octobre 1961, à 1h du matin, exactement un mois après l’enlèvement. Toutes les planètes ont bougé, mais Mercure se déplace plus vite, occupant l’endroit où il devrait être sur la carte de Betty Hill. Il restait maintenant à trouver ce que représentaient les autres points, qui ne coïncidaient pas avec les autres planètes extérieures du système solaire. Dans un exercice d’intuition, ils ont imaginé ce qu’un OVNI ferait qui entrerait dans un système planétaire pour l’explorer. Il déterminerait le nombre de planètes dans le système et quelles planètes se trouvent dans la zone habitable. S’il y avait de la vie, elle serait discrètement étudiée à distance, envoyant des patrouilles pour surveiller leur propre sécurité, s’installant aux points d’observation.

Ils devraient prendre soin de leur survie, obtenir de l’énergie et des matières premières. Ils identifieraient la ceinture d’astéroïdes située entre les orbites de Jupiter et de Mars comme sites de prospection des ressources. Afin de ne pas tomber dans l’erreur de privilégier au hasard tout corps de la ceinture pour l’adapter à la configuration du design, Koch et Kyborg ont décidé de ne considérer que les plus gros astéroïdes et de vérifier que les positions coïncidaient avec la carte le 20 octobre 1961, jusqu’à atteindre les seuls astéroïdes possibles: Psyché, Pretoria, Daphné, Europa, Pallas et Interamnia.

*Betty Hill, interprétation de cartes informatisées, Koch et Kyborg.*

Soudain, la carte de Betty Hill s’illumine! Nous sommes entrés dans un terrain familier: notre propre maison, notre système solaire! La carte prend tout son sens maintenant! Le chef ne semble pas avoir voulu dire directement à Betty qu’ils venaient d’ici. Au lieu de cela, il espérait qu’elle reconnaîtrait au moins le système solaire et, comme elle ne l’a pas fait, elle n’a pas pensé qu’il était approprié de démêler son occupation occupée dans notre propre maison. Une meilleure connaissance de l’univers permettrait-elle à Betty de mieux accepter la présence extraterrestre dans notre système solaire? Votre manque de connaissances a-t-il rendu prématuré des informations non publiées, ce qui nécessiterait le traitement d’autres connaissances connexes par Betty Hill?

Que conclure avec la nouvelle vue cartographique?

Compte tenu de la dynamique de la présence extraterrestre révélée sur la carte, nous notons que la question de Betty a été pleinement répondue par le Leader: ils viennent d’ici, de notre système solaire, et sont installés en permanence, comme suggéré par Saturne et Jupiter au premier plan, en collaboration étroite, et d’où viennent les “visites occasionnelles” sur Mars, la Terre et Mercure, et les “expéditions” vers Vénus et les astéroïdes Psyché, Pretoria, Daphné, Europe, Pallas et Interamnia.

*Carte de Betty Hill : Schéma d’interprétation de Koch et Kyborg.*

Disons qu’ils sont installés dans le filet mignon de la possibilité de vie dans le système solaire. Europa, la lune de Jupiter, avec son océan d’eau liquide sous la croûte glacée, est le candidat le plus fort pour abriter la vie telle que nous la connaissons. Titan et Encelade, les lunes de Saturne, sont également de bons candidats pour héberger une sorte de vie. En plus de notre belle Planète Bleue, jusqu’à présent un sanctuaire unique de la multiplicité et de la complexité de la vie, d’autres soupes biologiques seront également en cours de préparation, faisant du ravisseur du système solaire Betty Hill un chaudron où la vie abonde. On comprend ainsi mieux la préoccupation extraterrestre des déflagrations nucléaires, ayant parfois désactivé nos ogives, en opposition ouverte aux conséquences de l’autodestruction de l’espèce humaine.

Toutes les lignes qui partent de Jupiter mènent à des endroits où elles peuvent atterrir et correspondent, selon le Chef, à des endroits où elles vont occasionnellement. Nous apprenons qu’ils quittent parfois Jupiter pour visiter l’astéroïde Pallas et les planètes Mars, Mercure et Terre. Notez que l’astéroïde Pallas, le troisième plus grand du système, est au même niveau d’intérêt que les planètes visitées occasionnellement.

*Pallas, troisième plus gros astéroïde du système solaire, une planète mineure, comme Cérès. (notimerica.com)*

La planète Vénus semble aussi être infernale pour les ravisseurs de Betty Hill, elle est interconnectée par des lignes brisées, qui correspondent à des «expéditions», selon les mots du Leader. Toutes les autres lignes brisées sont dirigées vers les astéroïdes. Ensuite, la récolte est facile: les «expéditions» sont-elles destinées à extraire du minerai et d’autres matières premières et à étudier ces fossiles du système solaire primitif? Nous avons constaté que Vénus a la même valeur qu’un astéroïde dans les pérégrinations extraterrestres.

La dynamique extraterrestre du système solaire suit la logique du scénario imaginé par Koch et Kyborg: ils surveillent la Terre, là où il y a une vie intelligente; Mars, où nous sommes sur le point de révéler la vie microbienne et la civilisation intelligente du passé; Mercure, nous ne savons pas vraiment pourquoi; et sont installés là où l’on soupçonne l’existence d’autres soupes biologiques, sur les lunes de Jupiter et de Saturne. Et effectivement, les astéroïdes peuvent servir de fournisseurs de matières premières, puisque parmi les astéroïdes visités par les «expéditions», il y a Psyché, un trésor cosmique de fer et de nickel, dont la valeur est estimée bien au-dessus de toute l’économie mondiale de la planète. Koch et Kyborg risquent également de spéculer sur la conjonction de Jupiter et de Saturne, à cette date précise, indiquant l’existence d’un portail pour accéder au système solaire.

*Vue d’artiste de l’astéroïde 16 Psyché. Crédit : Maxar/ASU/P. Rubin/NASA/JPL-Caltech*

Malgré le fait qu’une date coïncide sans aucun doute avec une configuration cosmique conçue sous hypnose, il est encore possible de douter de la réalité de l’enlèvement de Betty et Barney Hill. Mais, nous disions-nous au début de cet article, nous entrons dans une nouvelle ère d’exploration spatiale, et qui sait si la mission américaine prévue pour 2022 rencontrera les ravisseurs de Betty et Barney Hill sur l’astéroïde Psyché! Nous avons souvent rencontré des objets technologiques sur notre lune, sur Mars, sur les anneaux de Saturne, sur Jupiter, Vénus et Mercure, confirmant la présence extraterrestre rapportée par le Leader à Betty Hill. Les milliers de photographies mises à disposition par les agences spatiales du monde entier, notamment la NASA, ont révélé des signatures technologiques, c’est-à-dire des traces de formations et des artefacts de facturation clairement intelligents dans tout le système solaire:

Saturne: outre la présence massive d’OVNIS géants photographiés sur leurs anneaux, les formes inhabituelles de leurs lunes Pan, Iapetus et Atlas nous font penser plus aux objets technologiques qu’aux formes produites par la nature.

OVNIS dans les anneaux de Saturne. Photo infrarouge de Hubble.

Atlas et Pan, lunes de Saturne, dont les formes inhabituelles suggèrent des artefacts technologiques.

Jupiter: la lune Europe est le candidat le plus fort pour l’existence de la vie telle que nous la connaissons; il a probablement un océan d’eau liquide sous sa croûte glacée. Les chercheurs soupçonnent le caractère artificiel des risques qui couvrent sa surface, suggérant des pipelines qui se chevauchent, indiquant un certain type de technologie intelligente.

*Sur Europa, les rainures à la surface suggèrent un système de conduits qui se chevauche*nt.

Mars: avec notre Lune, il est le champion des enregistrements de la présence extraterrestre dans le système solaire, car c’est le plus exploré par nous. On y trouve toutes sortes d’OVNIS et des traces de la civilisation ancienne, ainsi que des preuves d’une présence intelligente aujourd’hui. Sa lune Phobos a été impliquée dans un événement majeur du record d’OVNI sur Mars, la disparition inexplicable de la sonde soviétique Phobos 2 et l’implication évidente d’un gigantesque OVNI photographié et présenté par l’astronaute Marina Popovitch.

*Phobos, la lune de Mars, et le gigantesque OVNI photographié par la sonde soviétique Phobos 2, avant de disparaître inexplicablement.*

Terre: où il y a des êtres considérés comme intelligents et une multitude d’autres formes de vie; les enregistrements d’OVNIS et de contact avec d’autres êtres intelligents se produisent depuis l’aube de l’humanité. Notre Lune a toujours été observée pleine d’anomalies et d’objets inexpliqués, jusqu’à ce que nous y arrivions et que nous ayons trouvé d’autres occupants. La Lune regorge d’archives d’artefacts supposés technologiques. Selon la logique imaginée par Koch et Kyborg, une race extraterrestre qui explorait un système surveillerait la vie intelligente à distance, même pour assurer sa propre sécurité.

*OVNI photographié sur la Lune, Apollo 15.*

Mercure: enregistrement photographique des signatures technologiques possibles. Sonde Magellan.

*Mercure, structure à l’intérieur d’un cratère.* (etdabase.com)

Vénus: enregistrement photographique des signatures technologiques possibles. Sonde Magellan.

*Vénus, trace de structures éventuellement artificielles. Sonde Magellan.*

Si nous n’avons pas d’images de signature technologique sur les astéroïdes sur la carte, il y en a une très impressionnante sur l’astéroïde Eros! Mais nous sommes invités à cet incroyable voyage visuel à travers le système solaire dans le prochain numéro de COSMOVNI Magazine! Marco Antonio Petit nous conduira, à travers des photographies des différentes missions de la NASA, à travers des signatures technologiques et autres preuves de présence extraterrestre dans le système solaire!

La carte de Betty Hill et la synchronisation de l’ufologie.

L’ufologie s’est cassé la tête pour appréhender objectivement l’objet OVNI. Mais, avec le temps, nous nous rendons compte que cette connaissance objective nous échappe. L’objet OVNI a démontré et réitéré pendant des décennies que sa compréhension n’est pas seulement objective, capturant un OVNI d’une manière incontestable. Nous savons qu’ils interfèrent avec leur propre enregistrement, lorsqu’ils désactivent les machines prêtes à les enregistrer, et à d’autres moments se montrent ostentatoires pour des photos. Les témoins sont toujours méfiants, les photos et les films sont toujours contestés, etc. Inversement, une grande partie de ce que nous savons du phénomène passe par la synchronie, «des rencontres significatives au cours de l’histoire», comme le disent Koch et Kyborg. À partir d’une «rencontre significative» entre les rêves ultérieurs de Betty et le début de la sérieuse enquête sur l’affaire Hill, ils ont pu déterminer la datation cosmique du jour de l’année dans laquelle se produit la configuration conçue par Betty.

Le Chef, en montrant la carte, a également révélé une preuve de la réalité de l’enlèvement par datation cosmique qui représente la position exacte des planètes et des astéroïdes le 21 octobre 1961. Deux événements significatifs, les rêves suite à l’enlèvement et le début de les enquêtes sérieuses sur l’affaire ont été synchronisées, faisant comprendre que le contact s’est poursuivi et que la date serait celle de sa clôture, ce qui s’est avéré exact. C’est comme un jeu de transparences qui se chevauchent pour révéler quelque chose. C’est un mécanisme mental et cognitif. Reste à savoir si ce mécanisme de compréhension reste au niveau mental, ou s’il conduit à l’établissement de connexions matérielles et objectives menant à la crédibilité d’un fait.

Dans le cas de la carte de Betty Hill, une plus grande synchronie s’est produite au cours des trente ans qui séparent l’enlèvement de l’interprétation de Koch et Kyborg, en passant par l’interprétation non concluante de Marjorie Fish. C’est le fait qu’aujourd’hui, nous pouvons synchroniser les connaissances qui ont abouti à l’interprétation de Koch et Kyborg avec la présence massive d’OVNIS et les signatures technologiques qui ont été photographiées et filmées par les agences spatiales à travers le système solaire. Ainsi, nous comprenons mieux votre intervention en désactivant souvent les ogives nucléaires. Ils sont bien plus proches que nous ne le savions objectivement!

Reste cependant une question plus importante: sont-ils ici, venant d’ailleurs, ou s’agit-il d’une vie intelligente générée et donc issue de notre système solaire?

Koch et Kyborg pointent l’hypothèse qu’ils sont des visiteurs, même s’ils restent ici, car ils considèrent que la conjonction de Jupiter et de Saturne sur la carte suggère un portail, une entrée de notre système solaire.

Marco Antonio Petit, notre argent de la maison, grand chercheur de la présence extraterrestre dans le système solaire à travers les photographies de la NASA, pense à son tour que nous avons été visités par différentes civilisations cosmiques depuis la nuit des temps, et qu’aujourd’hui tout indique que diverses les intelligences agissent de différentes manières, de manière conjointe dans l’exploration du système solaire.

Une caractéristique de la synchronie sur la carte de Betty Hill est le temps qu’il a fallu pour élaborer les différentes interprétations (1978-1993), et le temps pour les données objectives et incontestables des missions des agences spatiales pour confirmer la présence en détail. Extraterrestre, révélé par le chef, aujourd’hui.

L’intérêt méthodologique dans la recherche de la synchronie entre des événements liés qui se produisent en même temps ou espacés dans le temps est évident pour l’avancement des connaissances sur les OVNIS. En plus de nous préoccuper des phénomènes isolés, nous devons rechercher des circonstances, des faits connexes, des coïncidences qui élargissent la compréhension d’un événement OVNI. Nous devrons apprendre à interroger ce processus mental et cognitif dans la recherche d’une méthode. Et nous devons considérer que ce processus est peut-être en quelque sorte orienté pour que la compréhension se produise au moment où elle peut et doit être assimilée, au seuil du nouvel âge de l’espace.